
Dans une pièce secrète ils vont découvrir un livre, ou plutot un guide des êtres merveilleux, habituellement invisibles, qui vivent dans la forêt, et même dans la maison.
Mais être capables de voir les gobelins, trolls et autres griffons ne sera pas sans danger.

Délicatement et délicieusement illustrées par Tony DiTerlizzi, ces chroniques au parfum suranné et désuet semblent tout droit sorties des années cinquante, celles du monde de Narnia, et on a une surprise en découvrant les dates de parution au XXIe siècle.

Au contraire on lit chaque bref tome sans se presser en une demie-heure, écrit gros et farci d'illustrations.
Mes enfants les ont lus aussi, mais plutot malgré ces caractéristiques, car ils préfèrent les sagas violentes et extraordinaires s'étirant sur des milliers de pages.

J'ai appris depuis qu'un film allait sortir en avril. A première vue, cette fantasy-là, plutot gentillette, se prête mal à l'illustration à grands budgets, pleines de bruits et de fureurs, dont les versions filmées du Seigneur des Anneaux et des Harry Potter sont les archétypes du film pour ados à succés, sans cesse reproduit avec des histoires différentes, comme dans Eragon.
